"La Boîte aux Lettres" est un atelier de mail-art animé par Jean-Charles Boilevin et hébergé par "Le Paravent d'Un Instant", espace de création et de thérapie à La Riche (Indre-et-Loire)
samedi 10 février 2018
samedi 3 février 2018
en photo dans le journal
Dans l’igloo de Jean-Charles Boilevin, Pascaline Duchemin-Pinard et Amélie Fleureau ont présenté leur bel ouvrage « Au Hasard », lors de l’inauguration.
© Photo NR
Lors de l’inauguration du nouvel espace du Paravent d’un instant, organisée samedi dernier, Pascaline Duchemin-Pinard et Amélie Fleureau ont présenté leurs textes et photos dans un igloo insolite. Des extraits de leur ouvrage à quatre mains ont rassemblé tous les publics. Assemblé et monté pour la circonstance, cet icosaèdre tronqué a rassemblé les visiteurs jusqu’au soir. L’auteur de cet habitat en bambou, Jean-Charles Boilevin, avait aussi transformé l’intérieur de l’igloo en grosse boîte aux lettres.
Au Paravent, il anime un atelier de mail-art (art postal). Cette pratique consiste à créer des courriers artistiques et à les échanger par la poste. A l’heure des mails, c’est singulier mais c’est un lien fort avec cette cabane de nomades qui a demandé deux heures de montage !
« Il existe plusieurs versions de l’igloo en d’autres matériaux. L’objectif : économie de moyens, efficacité au démontage. Cela fait vingt ans que je bosse là-dessus. A Djibouti, l’ensemble plié était porté par un chameau ; ici l’igloo tient sur la galerie de ma voiture », a expliqué le concepteur.
Le Paravent d’un instant, Ateliers et stages au 68, rue de la Mairie ; asso.leparavent37@gmail.com
© Photo NR
Lors de l’inauguration du nouvel espace du Paravent d’un instant, organisée samedi dernier, Pascaline Duchemin-Pinard et Amélie Fleureau ont présenté leurs textes et photos dans un igloo insolite. Des extraits de leur ouvrage à quatre mains ont rassemblé tous les publics. Assemblé et monté pour la circonstance, cet icosaèdre tronqué a rassemblé les visiteurs jusqu’au soir. L’auteur de cet habitat en bambou, Jean-Charles Boilevin, avait aussi transformé l’intérieur de l’igloo en grosse boîte aux lettres.
Au Paravent, il anime un atelier de mail-art (art postal). Cette pratique consiste à créer des courriers artistiques et à les échanger par la poste. A l’heure des mails, c’est singulier mais c’est un lien fort avec cette cabane de nomades qui a demandé deux heures de montage !
« Il existe plusieurs versions de l’igloo en d’autres matériaux. L’objectif : économie de moyens, efficacité au démontage. Cela fait vingt ans que je bosse là-dessus. A Djibouti, l’ensemble plié était porté par un chameau ; ici l’igloo tient sur la galerie de ma voiture », a expliqué le concepteur.
Le Paravent d’un instant, Ateliers et stages au 68, rue de la Mairie ; asso.leparavent37@gmail.com
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